Ernest Mallet est né dans une famille paysanne de Haute-Marne. Il avait fait ses études à Joinville et à Nancy, puis à la faculté de droit de Paris. Principal clerc de Me Lefrançois, avoué à Pontoise, il épouse sa fille et lui succède en 1887. L'année suivante, il est élu conseiller municipal. De 1904 à 1918 il est le très actif maire de la ville, qu'il doit gérer pendant la Première Guerre mondiale. "Foncièrement droit, doué d'un esprit lumineusement clair, il ne pouvait accepter la confusion, les retards, les imprécisions", dit de lui André Lesort.
Depuis longtemps, il s'intéressait à l'histoire de Pontoise. Membre de la Société historique, il publie le Registre des délibérations de la municipalité de Pontoise de 1608 à 1683, puis Les cahiers de doléances de la ville et du bailliage de Pontoise en 1789.
A sa mort, il fait à la ville un legs important, qui permet de construire, en bordure du jardin, une nouvelle bibliothèque.
Nommé président de la Société le 18 juin 1928 en remplacement de Germain Lefèvre-Pontalis, il entreprend de la redresser. Malheureusement, il est emporté par une hémorragie cérébrale le 27 novembre 1929, avant d'avoir pu y parvenir.
Notre vice-président Claude Legout lui a rendu un vibrant hommage par un article que vous pouvez également trouver sur le blog de la famille Lesort-Madelin.
Voir notre Bulletin n°81 daté 2016.
Louis Passy meurt le 31 juillet, âgé de 82 ans. La Société prend le deuil pour dix mois : aucune excursion n'est organisée jusqu'au printemps de 1914. Sa succession pose problème. Personne ne semble avoir la force et l'autorité nécessaires pour s'imposer comme président.
Joseph Depoin? Il est trop vieux, il se récuse. D'ailleurs, il avait catégoriquement refusé la place en 1901. On se tourne vers l'ancien maire de Saint-Prix, Auguste Rey, excellent histrorien local. Il refuse aussi, voulant même abandonner la vice-présidence. On l'élit malgré ses protestations, mais il se retire au bout de quelques mois, et c'est finalement Germain Lefèvre-Pontalis qui s'assied dans le fauteuil le 23 janvier 1915 jusqu'en 1928.
Photos archives municipales de Pontoise
Scènes de vie de M. Mallet, maire de Pontoise : vie privée, vie publique, journée en famille ou avec des amis.
André Lesort, né à Rouen en 1876, ancien élève de l'Ecole de Chartes, il avait fait carrière dans les Archives départementales. Il s'intéressait de très près à l'action des Sociétés savantes, comme membre du Comité des travaux historiques et scientifiques, et président de la Fédération des Sociétés historiques de l'Ile-de-France.
Membre de la Commission supérieure des Archives, de la Commission des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise, il travaillait à la sauvegarde du patrimoine et à la protection des paysages d'Ile-de-France. Il sera nommé Président de la Société historique en 1930 et y restera jusqu'à sa mort en 1960.
Pour en savoir plus sur André Lesort, le site "hopitauxmilitairesguerre1418" lui consacre un très bel article.
Le blog de la famille Lesort-Madelin, nous fait découvrir les actualités et les archives de cette famille.
Les principales publications de Marcel Lachiver :
En 1986, Marcel Lachiver passera la présidence à Roland Vasseur.
Né le 25 décembre 1920 à Saint-Germain en Laye, il sera nommé instituteur dans la commune de Théméricourt. Pendant une trentaine d'années, il forma tous les enfants de cette ville.
Formant une équipe très soudée avec Françoise Waro, nommée vice-présidente en 1984, il assure la direction de la Société pendant neuf ans, jusqu'en 1995.
Hommage à Roland Vasseur, le plus vexinois des Vexinois
La Gazette du Val-d'Oise du 27/4/2015
(Cliquez sur la photo pour suivre le lien)
Jacques Dupâquier devient président de la Société Historique en 1995 après le regrettable décès de Roland Vasseur.
Dès 1967, il fut membre du conseil d''administration de la société. En 1985, il devint un des vice-présidents.
D'origine suisse et normande, il était né à Sainte-Adresse (Seine Maritime) le 30 janvier 1922.
Il prendra une part active dans la Résistance pendant qu'il était étudiant. A la Libération, il devint enseignant et historien. Il enseignera au collège Chabanne de Pontoise en qualité de professeur d'histoire et géographie (1946-1954).
En 1962, il entrera au CNRS, puis assistant à la Sorbonne (1965-1968), il devient maître-assistant à l'École pratique des hautes études (1968-1970).
En 1970, il est nommé directeur d'études à la VIe section de l'École pratique des hautes études, devenue École des hautes études en sciences sociales. Il y fonde en 1972 le laboratoire de démographie historique. Il occupe ce poste jusqu'en 1991.
Jacques Dupâquier est élu à l'Académie des sciences morales et politiques le 18 mars 1996, dans la section Histoire et Géographie, au fauteuil de Jean-Baptiste Duroselle.
Grand voyageur, Jacques Dupâquier laissera une importante oeuvre photographique.
Le site englishrussia.com nous propose ses photos réalisées en 1956 dans l'Ouzbékistan.
Engagement politique
Secrétaire de section à Pontoise
Elu au Conseil d'administration de Pontoise
Quitte le PCF en 1956 à la suite de l'invasion de la Hongrie
Hommage au brillant historien
Jacques Dupâquier
Le 16 septembre 2017, une plaque commémorative a été posée sur la façade de la maison où l’historien Jacques Dupâquier a résidé pendant une trentaine d’années à Delincourt, près de Gisors, à l’initiative de l’un de ses quatre fils, le journaliste Jean-François Dupâquier.
Jacques Dupâquier, l’un des pères de la démographie historique, fut, entre autres, cofondateur et président très engagé de l’Association des Amis du Vexin, membre de l’Institut, président de notre Société historique de 1995 à 2005, fidèle du président de la Sauvegarde pour la Vallée du Sausseron, Daniel Amiot.
La cérémonie a bénéficié d’un ciel clément, donnant du temps aux prises de paroles de plusieurs personnalités, devant l’assemblée réunie pour cet hommage, et composée essentiellement de sa famille et de gens ayant connu ce professeur charismatique, dont plusieurs administrateurs des Amis du Vexin.
Parmi les diverses interventions, notons celles de son épouse Paule Dupâquier, de son fils Jean-François, de Philippe Sueur, Marc Giroud, Philippe Houillon, Daniel Amiot, et de notre présidente Françoise Waro. Plusieurs autres personnalités étaient présentes, comme l’ancien sénateur Robert Hue, et plusieurs maires et conseillers départementaux, comme Guy Paris.
Notre Société historique était représentée par Françoise Waro, Monique Lefebvre, notre ancien président Jacques Geninet et son épouse, Claude Legout, Danièle Dubois, Jean-François Thon. Nous participions ainsi à la reconnaissance d’un de ces hommes disparus qui ont redonné au Vexin une identité forte, comme Roland Vasseur et Marcel Lachiver.
De 1960 à 1975, sera nommé Président de la Société historique, André Lapeyre. Il est ancien élève de l'école des Chartes de 1922 à 1925 dans la même promotion que les brillants historiens Albert Mirot et René Héron de Villefosse, sorti de l'école sixième sur quatorze, avait été nommé archiviste-paleographe par décret du 10 février 1926.
En 1939, il est mobilisé comme officier; puis, de 1940 à 1945, prisonnier en Allemagne dans le même camp qu'André Castel, de l'Institut. C'est donc ce dernier qui tout naturellement fut directeur de jury en 1958, lors de la soutenance de sa thèse sur Elie Lambert, illustre archéologue religieux, publiée en 1960 sous le titre:
Des façades occidentales de Saint-Denis et de Chartres aux portails de Laon. Etudes sur la sculpture monumentale dans l'Ile-de-France et les régions voisines au XIIe siècle.
(342p, in-fol, ill.)
André Lapeyre devait ensuite publier d'autres ouvrages:
En 1975, un jeune historien, Marcel Lachiver, reprendra la succession jusqu'en 1986.
Il est né en 1934; petit-fils de paysans, il deviendra instituteur puis maître-assistant à l'Université de Paris I et, enfin, professeur d'histoire moderne à l'Université de ParisX-Nanterre.
Il est nommé membre du Comité des travaux historiques et scientifiques en 1977.
Il sera également chroniqueur dans le journal La France Agricole.
Jacques Dupâquier a écrit de nombreux ouvrages historiques :
(Source wikipédia)
Engagement associatif
Il adhéra à l'association "Laissez les vivre" de 1971 à 1992.
Il fut le fondateur et secrétaire général (1966), puis président (1990) de l'association des Amis du vexin.
Dès 1967, Jacques Dupâquier fut membre du conseil d'administration de la société historique et Archéologique de Pontoise (SHAPVOV). En 1985, il devint un des vice-président et en 1995, il fut nommé président.
Jacques Dupâquier nous quittera le 23 juillet 2010 à l'âge de 89 ans.
Entretien avec Jacques Dupâquier en juillet 2002
dans La nouvelle revue d'histoire
(Cliquez sur la photo pour suivre le lien)
Après son service militaire, il est officier de réserve et entre au Laboratoire Central des Télécommunications comme ingénieur de développement électronique (télémesure et télécommande pour satellites). Il est ensuite, dans la division informatique de Philips, responsable du groupe système "gros ordinateurs". Chez Portenseigne, il est l'adjoint du directeur technique, puis responsable du projet de télévision par satellite. Il termine sa carrière professionnelle comme attaché à la direction Philips Electronique Grand Public.
Mais ces activités ne l'empêchent pas d'avoir des occupations de toute autre nature. Passionné avec son épouse de généalogie et d'histoire, il suit pendant deux ans les cours de paléographie des Archives nationales, puis il crée en 1989 l'association Généalogie valdoisienne, qui propose bientôt un cours de paléographie et un cours d'inititation à la recherche historique ; sous son impulsion, cette association culmine à 250 adhérents et est acceptée comme membre de la Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l'Ile-de-France.
Quelques ouvrages écrits par Josée et Jacques Geninet :
Jacques Geninet est né le 20 juin 1940 à Saint-Pierre-les-Eglises, petit hameau de la Vienne, d'un père enseignant en histoire et d'une mère dont les racines sont profondément ancrées dans le Val-d'Oise, il a fait ses études à l'école communale d'Enghien-les-Bains, puis ses "humanités" au lycée Henri IV.
Toujours à Henri IV, il prépare les concours des grandes écoles et reçoit en 1963 le diplôme d'ingénieur de l' École Nationale Supérieure des Télécommunications. L'année suivante, il est Master of Science du Carnegie Institute of Technology, à Pittsburgh (USA). Jacques Geninet est également diplômé de l'Institut d'Administration des Entreprises.
Il a été secrétaire général et vice-président de la Fédération Française de Généalogie, où il s'occupait, entre autres choses, des relations avec les Archives nationales.
Son épouse, diplômée de l'École du Louvre, a été également active à la Société historique de Pontoise, où elle a présenté plusieurs conférences.
Articles et ouvrages de Françoise WARO
- “Etude démographique du pays d’Arthies au XVIIIe siècle”, Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d’Oise et du Vexin (M.S.H.A.P.V.), tome LXV (1975), p. 117-199.
- “Jenny, une femme pendant la guerre de 1914-1918”, M.S.H.A.P.V., tome LXXIII (1986), p. 39-171.
- Eglises du Vexin: Wy-dit-Joli-Village. Guide à l’usage du visiteur (Avec Roland Vasseur), Wy, 1987, 16 p.
-"Villages du Vexin : Omerville. Architecture et Société" (Avec Roland Vasseur), M.S.H.A.P.V., t. LXXIV (1987), p. 5-111, et tiré à la suite. Une approche originale mettant en relation architecture et Histoire.
- « Beaux villages du Vexin : Omerville » (Avec Roland Vasseur), Vivre en Val-d’Oise, N°4, 01/11/1990, p. 38-45.
-"Villages du Vexin : Genainville. Un prieuré, une église au coeur d'une communauté rurale"(Avec Roland Vasseur) M.S.H.A.P.V, 1991, t. LXXVI, 394 p., et tiré à la suite. Prix Sully-Olivier de Serres, section patrimoine, en 1992.
-“Coutumes disparues du Vexin français”, Bulletin de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d’Oise et du Vexin (S.H.A.P.V.O.V.), N° 49-50, 1989, p. 36-39.
-"Le pétillon en Vexin français" (Avec Roland Vasseur), Vivre en Val-d'Oise, n° 8, juin-août 1991, p 40-51.
-La vie quotidienne dans le Vexin au XVIIIe siècle, 1992, éditions du Valhermeil, 542 p. Prix Michelet 1993. Présentation dans la Revue d’histoire moderne et contemporaine de janvier-mars 1993 sous le titre “Permanences et mutations de la vie domestique au XVIIIe siècle : un village du Vexin français”, 29 p
-"Lorsque Chars était fortifié" (Avec Roland Vasseur), Vivre en Val-d'Oise, n°20, juillet-août 1993, p 24-37.
-"Echos lointains des fêtes vigneronnes" (Avec Roland Vasseur), Vivre en Val-d'Oise :
- "Saint Vincent", n° 24, fév-mars 1994, p 22-32.
- "La Saint-Vincent", n°25, av-mai 1994, p 56-65.
-"Le temps des vendanges", n°27, nov 1994, p 30-41.
- Magny-en-Vexin des origines à 1914 (en collaboration avec Roland Vasseur), 295 p, achevé seule, publié en 1995, Editions du Valhermeil. Plume d’or du Salon de Beaumont-sur-Oise, et médaille d’honneur du département du Val-d’Oise.
- Hommage à Roland Vasseur. « Roland Vasseur, un homme d’exception » (avec Jacques Dupâquier, Marcel Lachiver, Paul Rivière), M.S.H.A.P.V, tome LXXVIII (1995), p. 1-XX.
- Rites, fêtes et traditions du monde rural dans le Vexin et le pays de Thelle, 1850-1950, catalogue collectif d’exposition , Le Pétillon, 1996, 80 p.
- “Peste et saints antipesteux en Ile-de-France” (avec Roland Vasseur), Vivre en Val-d’Oise, N°42, 01/02/ 1997, p. 36-49.
-“Le livre de raison d’un habitant de La Roche-Guyon au XVIIIe siècle”, M.S.H.A.P.V., tome LXXX (1997), p 391-419.
- “L’épopée des tombeaux des Villeroy”, Vivre en Val-d’Oise, N°48, 01/02/1998, p. 26-37.
- Moulins et meuniers en Vexin-Thelle, catalogue collectif d’exposition, Le Pétillon, 1999, 177 p..
- “Les moulins de Chars : Vivre en Val-d’Oise, N° 53 du 01/12/1998 p. 32-45 et N° 54 du 01/2/1999 p. 50-60.”
- “Du bac au pont de Neuville”, Vivre en Val-d’Oise, N° 57 du 01/9/1999 p. 32-41 ; N° 58 du 01/11/1999 p. 40-47 ; N° 59 du 01/12/1999 p. 28-37.
-“A la recherche des moulins à vent” (avec Jacqueline Briand), Vivre en Val-d’Oise, N° 63 du 01/09/2000 p. 40-48 ; N° 64 du 01/11/2000 p. 32-37.
-“Un incident à l’école d’Arthieul en 1775”, Bulletin de la SHAPOV, N° 66, 2001, p. 37-46.
- “Les cressonniers de Chars” (avec Jacqueline Briand), Vivre en Val-d’Oise, N°73, 01/09/2002, p. 28-35.
- Boire et manger autrefois en Vexin-Thelle (catalogue collectif d’exposition), 2002, 230 p,.
- « Les moulins bateaux ou moulins flottants. Des moulins disparus », (avec Jacqueline Briand), Vivre en Val-d’Oise, N° 80 du 01/06 2003, p. 30-37.
- Costumes d’autrefois : collaboration à l’ouvrage publié par Archives et culture en juin 2003 pour le Val- d’Oise.
- « Le moulin bateau de Pontoise » (avec Jacqueline Briand), Vivre en Val-d’Oise, N° 82 du 01/09/2003, p. 40-43.
-"La verrerie de Marines" (en collaboration avec Jacqueline Briand), Vivre en Val-d’Oise, N° 85, 01/01/2004, p. 58-63.
-"Les cimetières de Saint-Maclou de Pontoise" (avec Monique Wabont, archéologue) ; Vivre en Val-d'Oise, N° 88, 01/11/ 2004, p. 16-25.
-"Les Simonin, cinq générations de bijoutiers au cœur de Pontoise", Vivre en Val-d'Oise, N°82, 2005, p.42-47.
- Jouy-le-Moutier et la guerre de 1939-1945 (avec Martine Delorme, Louisette Henri, François Lonbardi, Francis Thiberville), Association du village, 2005, 163 p.
-"Les bateaux-lavoirs de Pontoise " (avec Jacqueline Briand) ; Vivre en Val-d''Oise, numéro spécial Pontoise, N°95, janvier-février 2006, p. 36-42.
- A pied, à cheval, en voiture … et en train, dans le Vexin et le Pays de Thelle, catalogue collectif d’exposition, Le Pétillon, 2006, 224 p.
-"Adolphe d'Hastrel et Pontoise", M.S.H.A.P.V., tome LXXXIX (2007), p. 97-224.
- Hommage à Marcel Lachiver (avec, André Forget, Nicole Lemaitre, Serge Lesmanne, Perrine Mane, Jean-Pierre Poussou. Paul Rivière), M.S.H.A.P.V, tome XC (2008), p. 2-60.
- "La disparition de Marcel Lachiver", Vivre en Val-d'Oise, N° 110, 01/07/2008, p. 60-63.
- "Internet et la recherche historique. Adolphe d'Hastrel et Pontoise", Vivre en Val-d'Oise, N° 112, 01/11/2008, p. 58-63.
- " La question de l'eau dans le Vexin. L'exemple du Bellay", Bulletin de la S.H.A.P.V.O.V., N°73, 2007-2008, p. 55-64.
- « Lieux de mémoire, lieux de vie : le bistrot et l'auberge Saint-Vincent, à Jouy-le-Moutier », Vivre en Val-d'Oise, N°113, 01/01/2009, p. 50-56.
- « Murmures des murs. L’exemple de Magny-en-Vexin », Vieilles maisons françaises, 2010.
- Le théâtre et le bistrot Saint-Vincent à Jouy-le-Moutier (ouvrage collectif), association du village, 2010, 152 p.
- Fêtes d’autrefois dans le Vexin et le pays de Thelle, catalogue collectif d’exposition, Le Pétillon, 2010, 223 p.
- Introduction à l’ouvrage Jean Baptiste Santerre, écrit en collaboration avec Claude Lesné, Editions du Valhermeil, 2011, 119 p.
« Tempête sur l’épicerie. L’arrivée d’un Félix Potin à Pontoise », M.S.H.A.P.V., tome XCIV, (2012), p 111-174.
- Neuville-sur-Oise des origines à 1914, 2013, Mairie de Neuvile, 360 p.
- Sous les meules, le grain, catalogue de l’exposition d’Archéa, Trouville-sur-Mer, 2013, 165p.
- « La rupture du pont d’Auvers », M.S.H.A.P.V., tome XCV (2013), p. 143-208.
- Vexin et Thelle d’hier. Terres d’entreprises, (catalogue collectif d’exposition), Le Pétillon, 2013, 224 p.
- « Clovis Cousin, peintre, dessinateur et photographe pontoisien », Bulletin de la S.H.A.P.V.O.V., N°s 78-79, 2013-2014.
- « Débuts de guerre en Val-d’Oise », M.S.H.A.P.V., Tome XCVI (2014), p. 143-208.
- « Alphonsine, couturière dans le Vexin », Bulletin de la S.H.A.P.V.O.V., N°80 (2015), p. 43-58.
- Le carnet de guerre de Paul Bérot (avec Maria Angela Salas), M.S.H.A.P.V., tome XCVII (2015), p. 197-216.
- Retour sur Adolphe d’Hastrel (avec Paul Mathieu), Bulletin de la S.H.A.P.V.O.V., N°81 (2016), p 65-72.
- « Inimitiés, querelles et bagarres de femmes dans le Vexin du XVIIIe siècle », M.S.H.A.P.V., Tome XCVIII (2016), p. 58-214.
- « Tristes naissances dans le Vexin du XVIIIe siècle. Le poids de l’illégitimité », M.S.H.A.P.V., Tome XCIX (2017), p. 155-258.